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À propos de quelques récipients du service funéraire étrusque (VIe-IVe siècle avant J.-C.)

[article]

Année 1995 97-1-2 pp. 103-113

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A PROPOS DE QUELQUES RÉCIPIENTS

DU SERVICE FUNÉRAIRE ÉTRUSQUE

(VP-IVe SIÈCLE AVANT J.-C.)

Α-M. ADAM *

L'abondance, en contexte funéraire, de la vaisselle de table et surtout de celle qui est liée au service du vin a été depuis longtemps soulignée comme une originalité des cultures de l'Italie antique, par rapport aux zones de culture proprement grecque1. Pourtant, on a rarement entrepris d'aborder de façon plus nuancée la question de la présence et de la composition du « service »

* Université des Sciences Humaines de Strasbourg.

1. La pratique funéraire grecque impliquait éventuellement que l'on place sur ou dans le tombeau, outre les vases du rituel funéraire proprement dits Oécythe, hydrie), des récipients comme la kylix ou l'œnochoé, qui sont utilisés aussi dans le symposion, mais on n'y trouve jamais de service composé plus ou moins complet, comme c'est le cas en différentes régions d'Italie non grecque et particulièrement en Étrurie. Cette différence a été soulignée notamment, à propos de la diversité des rites funéraires de Grande- Grèce, par A. PONTRANDOLFO, « L'escatologia popolare e i riti funerali greci », in Magna Grecia. Vita religiosa e cultura letteraria, filosófica e scientifica, Milan, 1988, p. 183-185, qui note l'originalité, par rapport aux autres cités grecques, de Cumes et Neapolis, où, aux marges du monde indigène, le cratère apparaît comme pièce du mobilier funéraire, selon un modèle courant dans les centres campaniens et samnites. Selon O. Murray, « Death and the Symposion »,AION(archeol) X, 1988, p. 239-257, il existe, dans la mentalité de la polis grecque, une opposition quasi absolue entre le monde du symposion et celui de la mort, et les exceptions apparentes à cette règle ne font que la confirmer et correspondent à une attitude ou des croyances individuelles.

REA, T. 97, 1995, η<* 1-2, p. 103 à 113.

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